lundi 18 juin 2007

Marrakech : tourisme corruption et sexe !...

Marrakech, de jour en jour connue dans le monde par ses scandales en arrière plan de ses monuments, ses pervers et immigrants aussi et surtout de son air climatique qui chante les appétits de ceux qui rêvent des paradis sur terre, le plat est copieux et riche de ses ingrédients avec le contraste de tout et de rien : on trouve le bonheur et la misère, la richesse et la sécheresse, le haut et le bas avec la médiane béante dans le néant, la corruption , la prostitution, la pédophilie voire même la zoophilie, le tout est pimenté avec l'instabilité sociale et de l'emploi pour que l'offre dépasse la demande. L'exploitation du plaisir charnel est devenue une vraie profession rentable et sans charges de masses et qui dépassent tantôt les recettes de casino de la ville, ses promoteurs actuellement sont vraiment dans le sommet des courbes canoniques de leurs top chiffres d'affaires, une telle activité s'avère bien coquillée et coiffée de tout encadrement juridique et médiatique qui garde bizarrement leurs silences bien juteux des diverses contreparties en vigueur.
Il est stupéfiant à relever la manière bizarre et réactionnelle de notre presse marocaine à l'égard du magazine choc hebdo et de l'enquête mené professionnellement par ses journalistes, il y a les quotidiens marocains qui se sont contentés d'un commentaire simplement passager dans leurs numéros, d'autres ont mis l'accent sur les photos prises dans le tas de drame pour saluer soit la corruption soit la vérité amère et réaliste de la ville de Marrakech, mais d'autres comme à l'accoutumé pour accentuer leurs ventes, ont mis de la tragédie, tout un développement des gros titres du scandale faisant en sorte comme s'ils étaient des acteurs de presse bien hors sujets en couvertures de ce qui se passe sur leur terre de Maroc
Faut dire qu'un malaise n'a jamais été l'objet d'une guérison en faisant recours à un scanner ou tout autres clichés médicales de photo, certes l'outil est la pour repérer le fléau dans l'organisme et qui cause les réflexions possibles sur l'optimale façon d'y remédier, le magazine choc français n'a point choqué les habitants de la ville de Marrakech du contenu en lettres et photos des pages étalées dans le Web et presse écrite, mais ce qui aurait été souhaitable c'est d'exporter l'information au delà de nous même et faire savoir aux curieux étrangers, que notre presse est bien vivante et son rôle est pleinement remplie devant ceux qui s'estiment responsables pour redresser la barre la ou ça foire partout dans cette ville.
Voilà toutes les données de notre malheur sont à poil sur une table nue et déjuponnée, Nikki Beach de l'hôtel palmeraie golf palace de Marrakech a bien pu imposer sa réputation dans tout le monde et pour ses patrons, nul besoin de débourser en outre des frais de sa commercialisation puisque le pilotage de club est devenu d'ors et déjà automatique, il devint l'étincelle et le catalyseur de tout ce qui suit dans ce scandale autant qu'une partie d'ice berg qui cache vraiment tout un système sciemment organisé ou le sexe, la prostitution l'emporte sur le mot tourisme et hospitalité à la marocaine ou tout est donné contre l'argent. Nikki Beach n'est qu'un pilier coaxial de ce qu'on a vu dans le magazine choc des français, c est un centre d'exhibition lié à la fraîcheur de ce qu'on vous présente comme liqueur alcoolique ou charnel, la suite de bronzage connaît l'escale le soir dans le cabaret Narjis de même établissement, le lieu est très réputé dans les pays du golf arabe, ou 80 prostituées haut de gamme sont tout le temps à disposition aux bienvenus arabes et commissionnées à 50% des recettes réalisées par soirée, la direction des villas à louer du golf ,le pavillon et jardins INES sont octroyés à des cadres de gestion hautement compétents et qualifiés pour la mission (Mr Ourdach et Mr Raiss) dont l'historique de leurs parcours de fonctions évoque bien un arrêt de réflexion et de méditation en vue de lac de leur richesses rapides qui débordent au fil de flux rss du plaisir.
A commencer par le gérant de Nikki Beach, Mr Fakir n'était qu'un simple DJ puis gérant du coin pour escalader les échelles d'un homme d'affaires dans la ville de Marrakech, suivi de Mr Abbad, gérant de cabaret Narjis très connu chez les riches arabes, doué avec professionnalisme dans le marché informel des devises en dollars et euros ,de même pour son approvisionnement en cocaïne auprès des demandeurs des quatre coins du monde qui honorent les deux crèches de la ville, les recettes de chaque soirée sont soigneusement ventilées par la direction financière de l'établissement piloté de façade par Mr El Mustapha Zouitina autant que directeur financier avec un chef du personnel qui se charge des relations émotionnelles entre établissement et prostituées. (télécharger l'exemple de cachet)
Ainsi l'approche ne revêt plus le look scandale de mœurs et prostitution cyclique et normale, puisqu'il s'agit des milliards en devises en jeu si on s'amuse à faire le bilan des comptes pour déboucher sur les deux perdants bien en vue dans cette affaire : le citoyen et l'état, le fisc et la morale de notre mœurs autrefois bien enracinées de notre histoire, en fait c'est un sablier qui se vide pour remplir l'autre ventricule contre le temps bien sur et en profit des opportunités défavorables poussant nos filles à vendre leurs corps pour un mariage duel plaisir argent. Les réels comptes financiers et rentes de Nikki beach ne sont déclarés que sur un taux de 2% des recettes globales (se pose t on la question sur l'itinéraire des 98% !…) alors que le cabaret de Narjis stagne sur un taux moyen de 39% de déclarées, les recettes en hébergement (chambres, villas et appartements) vont ainsi de suite sur la même palissade en taux de 17% du noir et au fisc d'enchaîner la relation des séjours entre les taxes promotionnelles touristiques et les montants avancés officiellement par la direction financière de l'oisis tropézienne.
Il convient de dire aussi que tout le monde est complice dans les scandales que connaît la ville de Marrakech, tant d'enveloppes qui se ventilent chaque soir et aux petits matins aux cadres responsables sensés de veiller sur cette même ville pour garder le silence, pour le propriétaire de notre building de divertissement en exemple du fameux nikki beach, a bien emprunté le modèle américain (BW : behind wall) pour placer au sommet de la hiérarchie de son commerce un directeur général étranger (Mr Longueve) qui ignore le mécanisme et la dynamique profonde de cette industrie de tourisme classique mais insolite de gestion. Le journal Al Massae nous a réellement étonné quand il a avancé le nombre avec précision le nombre des prostitués dans la ville de Marrakech (20.000), ceci dit qu'une activité de recensement a déjà eu lieu et par qui et pour le compte de qui pour laisser la levure se fermente de plus en plus au bénéfice des consommateurs potentiels de la chair ( plus de 10 millions de dirhams par soirée se voit collectées et répartie sur les soi disantes actrices chaque soir dans tous les coins hot de la ville rouge), le phénomène se voit prendre de l'ampleur rapidement chaque jour et ne soulève même pas de questions, au sein des associations de défense des droits de la femme, du département de la santé publique ... et également auprès de la police qui y voit le nid du ce commerce merveilleusement organisé et fleurir.
Nikki beach, le comptoir ou paradise et bien d'autres ne sont que des grains et signes de violentes tempêtes qui vont arroser Marrakech et ailleurs de même, tous les promoteurs sont impliqués dans ce tourisme, il suffit de taper dans les moteurs de recherche du net ce qui suit :(porno hôtel Marrakech) et vous allez être surpris par les divers logos de nos valeureux hôtels de classe qui s'affichent, avec la politique sexe et tourisme, nos promoteurs pensent avoir trouvé la formule d'un bon démarchage de notre richesse naturelle bien vivante au détriment de ce qu'on va subir dans le futur tel le cas de certains réseaux des prostituées ou la location de l'exclusivité des fréquentations des lieux chauds dépassent les 50.000 euros l'an

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